Il y a sept ans, je sautais le pas et je me lançais dans l’aventure qu’est la vie nomade. J’étais certes un peu chargée, mais je n’omettais aucun objet indispensable ! J’avais vu juste : je n’ai manqué de rien. Ceci dit, après quelques milliers de kilomètres, mon dos a commencé à manifester son désaccord. Rien ne servait de parcourir le monde si j’épuisais toute mon énergie en seulement quinze minutes de marche. J’ai donc décidé de voyager léger, et j’ai dû par conséquent réajuster tout mon équipement.
Vous trouvez également votre sac à dos trop lourd ? Délestez-vous. Déchargez-vous. Sentez-vous enfin libre ! Voici quelques astuces pour voyager léger et je vous préviens, la suite de l’article est peu glamour, mais diablement efficace…
1) Arrêtez de faire votre chochotte :
Vous vous apprêtez à partir à l’aventure mais vous trouvez ça dégoûtant de manger dans l’emballage ? Vous voulez faire le tour du monde mais vous ne voulez pas porter les mêmes vêtements trois jours de suite ? Vous allez bivouaquer, dormir dans des gares ou des halls d’embarquement, mais vous ne pouvez pas vous passer de votre oreiller fétiche ou de votre doudou ?
Vous vous faites du mal pour rien. Louez un van, trouvez-vous un partenaire qui a de gros biceps, ou prenez conscience que le poids de votre sac à dos limitera considérablement votre liberté. Si vous vous lancez à la poursuite de vos rêves d’évasion, ce n’est probablement pas pour vous laisser écraser les vertèbres, vous contraignant à faire une pause tous les cent mètres, si ? Il est temps d’arrêter les frais, et de voyager léger pour de bon.
2) Allégez vos besoins :
Tout d’abord, choisissez un petit sac. Maintenant, reposez celui qui vous semble petit, et prenez un vrai petit sac. Car plus vous pourrez en mettre à l’intérieur et plus votre liste d’indispensables s’agrandira.
Avez-vous vraiment besoin d’emporter ce guide de voyage qui vous expliquera – comme à des milliers d’autres – comment sortir des sentiers battus ? Êtes-vous certain que vous utiliserez cette horrible combinaison anti-pluie ? Je ne sais pas vous mais moi quand il pleut, j’en profite pour aller boire un café. Bon, apporter une housse imperméable pour votre sac est toutefois vivement conseillé (ne serait-ce que pour lutter contre l’humidité), j’ai mis du temps avant d’en acheter une mais je dois bien reconnaître que cela m’a souvent manqué. Quant à votre gourde métallique, un peu d’aventure que diable ! Vous savez remplir une bouteille d’eau ? Vous avez les compétences suffisantes pour vous débrouiller, même pour traverser le Sahara en stop ou gravir une montagne !
Pour ce qui est de la lampe de poche, voici une petite astuce : ce chargeur universel USB vous permettra de recharger votre téléphone ou votre appareil photo, et il comprend aussi une lampe de poche d’appoint ! Bien sûr, vous ne ferez pas un trek de nuit avec, et il ne remplacera pas une vraie lampe frontale de qualité… Mais il sera parfait pour vous dépanner si vous ne prévoyez que quelques nuits de camping.
3) Faites les bons choix :
Difficile de conjuguer le fait de voyager léger avec un petit budget. Si vous ne souhaitez pas payer chaque nuit un lit en auberge de jeunesse, vous allez probablement devoir porter votre tente, et faire du camping sous-entend également d’apporter un duvet et un tapis de sol. Une alternative largement développée mais toujours enrichissante est le Couchsurfing. Vous économiserez environ quatre kilos de matériel par personne, vous respecterez votre budget, et vous ferez surtout à coup sûr de belles rencontres.
Apprendre, est-ce empiler des choses dans sa bibliothèque, ou se débarrasser de tout ce qui ne sert à rien et poursuivre son chemin plus léger ?
Tiré de La sorcière de Portobello, un livre de Paolo Coelho
Vous pouvez aussi adapter votre destination en fonction de la saison. Partez à Montréal en janvier et soyez sûr d’avoir besoin de porter tout votre attirail anti-froid : allez-y plutôt l’été, ce sera beaucoup plus simple de voyager léger.
4) Ayez le matériel adapté :
Oubliez le trio fourchette/couteau/cuillère, optez pour le tout en un avec la Spork, ou le couteau suisse. Abandonnez votre duvet pesant trois kilos, vous n’irez pas bien loin avec… Si vous campez, choisissez plutôt un bon sac de couchage ultra-léger. Si vous achetez toutefois un premier prix, ajoutez-y un drap de soie ou une couverture polaire. Mettez de côté votre guide ou votre carte des environs, prenez plutôt la photo d’un plan que vous trouverez sur Internet.
Dans tous les cas, adaptez votre matériel aux activités que vous souhaitez réellement réaliser. Si vous faites de l’auto-stop, vous aurez besoin d’un minimum de matériel pour bivouaquer. Par contre, si vous ne campez presque jamais, laissez votre tapis de sol chez vous et improvisez le jour venu. Autre astuce que j’ai utilisée lorsque je préparais mon sac à dos pour Compostelle : ne pas prendre de maillot de bain, mais utiliser un short si besoin, durant le voyage. Enfin bref, vous avez compris l’idée…
Mon truc en plus ? Ce précieux couteau suisse que m’a offert mon Papa. Je l’utilise depuis sept ans : il est parfait pour voyager, et en plus il est joli ce qui ne gâche rien… Il n’a aucun accessoire en trop, mais possède tous les outils indispensables !
5) Enlevez-vous cette épine du pied :
Qui dit voyage ne dit pas forcément qu’il faut choisir des chaussures de marche pour la randonnée, puis des claquettes pour aller la plage, mais aussi des bottes en cas de pluie, et enfin une paire de baskets pour le quotidien. Vos pieds vont survivre. Vous arpentez le monde pour prendre votre pied, non pour vous sentir pieds et poings liés, croulant sous le poids de votre sac à dos. À moins que le trekking ne soit au centre de votre projet, laissez au placard vos chaussures de rando : elles sont bien trop lourdes !
Choisissez plutôt une paire de baskets légères en toile, avec lesquelles vous pourrez vadrouiller un peu partout et qui seront largement suffisantes pour de petites excursions. Prenez aussi une paire de tongs, c’est toujours utile. Que ce soit pour éviter d’attraper des champignons dans des douches pas toujours propres, pour repousser les cafards qui vous empêchent de dormir, ou – ça arrive aussi – pour profiter des joies de la plage, vous ne le regretterez pas. En plus, vous aurez l’air cool si vous décidez de faire du stop en claquettes !
6) Changez vos habitudes quotidiennes :
Depuis que je ne me balade plus qu’avec deux culottes et une paire de chaussettes, je n’attends plus que Mamounette me lave mon linge sale en fin de semaine. Dommage pour moi, sa lessive sentait tellement bon ! J’ai aussi cessé de m’attacher à la décoration de mon petit chez-moi : désormais, les murs de mes logements temporaires s’ornent chaque soir d’un petit slip qui sèche gentiment. Le genre classique-noir-impersonnel, qui donne l’illusion à la plage que je porte un vrai maillot de bain. Vous détenez maintenant une bonne partie de la vérité à mon sujet.
Je vénère dorénavant le génie du savon de Marseille. Il nettoie parfaitement corps, cheveux, vaisselle et vêtements sales (utilisez le vert pour le corps car il contient de l’huile d’olive, le blanc pour le reste). Tout cela dans un si petit cube, c’en est presque trop. Je continue tout de même d’utiliser du shampoing de temps à autres, parce que mes cheveux le valent bien. Et aussi parce que ça sent bon.
Par ailleurs, pour les filles qui voyagent, pas besoin d’emporter votre stock de tampons, pensez à la coupe menstruelle ! Enfin, j’ai définitivement abandonné mon sac à main adoré. Désormais, je glisse tous mes papiers importants dans cette sacoche de sécurité qui se porte comme une ceinture, et qui est très discrète puisqu’elle se porte sous les vêtements. Elle est très utile pour protéger passeport et argent liquide.
7) Soyez écolo, recyclez :
On vous refile un sac plastique à chaque fois que vous achetez un morceau de pain, et vous ne parvenez toujours pas à dire non merci je n’en ai pas besoin dans la langue locale : à défaut de voyager zéro déchet, recyclez ! D’un vulgaire sachet, il deviendra votre nouveau sac à main et contiendra vos quelques effets pour une petite promenade. Attaché correctement, il protègera votre petit sac en cas d’averse (mais pour la mousson, repensez-y à deux fois). En fin de vie, roulé en boule, il vous servira d’éponge et nettoiera impeccablement le fond de votre gamelle.
Les possibilités du recyclage n’ont d’autres limites que celles de votre imagination. Découpez le fond d’une bouteille d’eau pour en faire une tasse à café. Comme dit plus haut, optez pour la Spork (cuillère et fourchette deux en un), ou pliez un emballage en carton pour obtenir une cuillère de secours. Bref, arrêtez de transportez votre maison sur votre dos et misez sur la récupération. Pour voyager léger, il faut être malin !
8) Soyez créatifs :
Vous avez mal géré la lessive de vos deux caleçons et vous vous retrouvez désormais face à une situation inextricable ? Quelle que soit la taille de votre problème à enterrer, ça n’en est pas un. Si je vous racontais combien de fois j’ai revêtu mon chèche à la façon d’un pagne, vous m’offririez sur le champ un nouveau pantalon. Ou peut-être ce vieux jean que vous ne mettez plus, il ne faudrait pas non plus que j’abuse.
N’empêche, si j’ai survécu, les chances que vous vous en sortiez aussi sont plutôt bonnes. Transformez votre chèche de trois mètres (vous l’avez choisi grand car vous êtes malin) en jupe de rechange, couverture d’appoint, oreiller de fortune, baluchon de dernière minute, masque de sommeil ou serviette en micro-fibres si vous n’en avez pas, ça ne vous rendra pas plus sot. Ridicule éventuellement. Assurément même. Mais apprécierez de voyager léger et vous profiterez pleinement de votre liberté, c’est ce que vous souhaitiez non ? Voici le genre de chèche que j’affectionne : tissu double, long de 3m, 100% coton, parfait pour le réutiliser à toutes les sauces !
9) Arrêtez la parano :
Vous aurez vraisemblablement mal à la tête, quelques infections et la tourista lors de votre voyage. Cela fait partie du jeu et c’est bien souvent douloureux. Pourtant, vous n’aurez pas besoin d’une trousse à pharmacie démesurée pour sillonner la planète. Essayez déjà de garder la santé en voyage, ça c’est du conseil qui tue, non ?
Sachez que vous pourrez presque toujours trouver ce dont vous aurez besoin sur place. Un antidouleur type paracétamol, un antibiotique général et un désinfectant suffiront largement à régler la plupart de vos soucis de santé. Je dis ça comme ça, mais un anti-diarrhée, ça pourrait être utile aussi…
Quand j’y repense, je transportais à l’époque une vingtaine de boîtes de médocs (oui parce que vous comprenez, avec tout ce qu’on entend et tout ce qu’on lit…). J’avoue aujourd’hui que ça me fait de la peine : préparer un voyage en s’attendant au pire, c’est un peu triste, vous ne trouvez pas ? Allez pour cette fois, on mise sur l’optimisme !
10) Pour voyager léger, échangez ou donnez :
Votre itinéraire prévoit d’alterner entre désert et glacier ? Entre jungle et montagne ? Sans aucun doute, vous aurez à la fois besoin de vêtements chauds et de tenues plus légères. Cette question cruciale était au centre de mes interrogations lorsque commençais à préparer mon tour du monde. Au fil des kilomètres, j’ai découvert que j’étais loin d’être la seule dans ce cas. Soyez certain que des centaines de voyageurs au long court auront les mêmes préoccupations que vous, et avec un peu de chance, des parcours opposés.
Ensemble, troquez donc votre chapka contre des lunettes de soleil, vos bottes de ski contre une paire de claquettes, ou votre polaire contre un sweat plus léger. Vous détraquerez probablement votre sens de la mode à jamais, mais votre colonne vertébrale vous en sera reconnaissante. C’est le prix à payer pour voyager léger !
Donner ce dont vous n’avez plus l’utilité n’est pas non plus interdit. Même si cela vous crève le cœur de vous séparer de votre doudoune préférée, c’est un moyen de rendre au monde un peu de ce qu’il vous aura apporté.
Offrir quelque chose gratuitement et sans contrepartie est une démarche à laquelle nous sommes malheureusement peu habitués. Essayez, et votre bonne étoile vous le rendra au centuple, je vous le promets…
Pour voyager heureux, voyagez léger.
Antoine de Saint-Exupéry
Autres ressources pour voyager léger :
Pour aller plus loin, vous invite à découvrir les articles suivants, qui complèteront ces quelques conseils pour voyager léger et préparer au mieux votre sac :
- La base : Comment faire son sac à dos ;
- Les astuces de pro : Complétez votre matériel de voyage : 10 objets multifonctions pour nomade débrouillard ;
- Le côté geek : Détail de mon équipement high-tech de voyage ;
- Plus d’inspiration : Retrouvez 20 idées cadeaux pour voyageur.
Et vous, quelles sont vos secrets inavouables pour voyager ultra-léger ? Allez, confessez-vous dans les commentaires, donnez-nous tous les détails croustillants !
Vous aurez remarqué que certains objets cités dans cet article comportent des liens d’affiliation. Cela permet de faire vivre mon blog voyage et de m’offrir un café de temps à autres, sans pour autant augmenter le prix de vente de ces derniers.
Heyy, je dévore tes articles! Je cherchais où trouver de l’inspiration pour me préparer et là je peux dire merci pour tes mines d’infos 🙂
Une question que je me pose : je veux voyager léger et de longue durée. Mais, si je veux traverser le globe en commençant par exemple par les chemins de compostelle en été et puis que je continue ma traversée dans un pays plus froid. Comment je vais transporter tout mon matériel en sachant que je veux garder mon dos en bonne santé ?
Est-ce que tu stockais tes affaires non nécessaire dans un lieu différent pendant tes périples ?
Bonsoir et Bravo de ta démarche. !
J’ai découvert l’argile verte lors de voyage dans des milieux potentiellement fragilisant pour notre flore intestinale et j’avoue que celle-ci m’a bien souvent rendu de très grand service, même en cutané pour de graves plaies ouvertes…
Bonne Suite…
Merci pour l’info ! Bonne suite également 🙂
Merci pour tous ces partages…je rajouterai une gourde compacte et filtrante befree de chez katadyn …elle diminue mon impacte eco en me permettant de ne pas acheter d’eau en bouteille..
Merci Régis pour ce conseil très pratique, et bon vent à toi 🙂
Salut,
Super articles, de bon conseil. Merci beaucoup.
Je voulais ajouter mon expérience pour ce qui est du bivouac :
Beaucoup de gens considèrent la tente comme indispensable mais pour avoir pris une tente lors de mon premier voyage, je déconseille fortement. Personnellement, je m’en suis servi deux ou trois fois sur un voyage de plusieurs mois, et il a fallu la porter le reste du temps.
Deux alternatives m’ont convaincue pour différentes raisons :
1) le hamac
Un bon hamac c’est un confort inestimable sur n’importe quel terrain. Au sommet d’une colline, en pleine foret, en pente, sur sol rocailleux, sur la plage. Il est à la fois discret, léger et douillet. Allié à une bâche tendue sur une corde pour les soirs de pluie.
Il a pour gros avantage de ne pas nécessiter de tapis de sol, et de préserver son dos.
Il a deux gros inconvénients : les soirs de gros orage, l’eau peu mouiller le hamac malgré la bâche. Par grand vent ou température un peu plus fraiche, le froid a plus de prise.
2) la tarp
C’est une bâche tendue sur un ou deux piquets. Elle constitue un abri optimal les soirs d’orage. Elle permet de mieux conserver la chaleur, étant au sol. C’est l’option la plus légère.
L’inconvénient est qu’on dort sur un simple tapis de sol (on peut mettre une couverture de survie en dessous pour l’humidité), et c’est donc moins confortable pour le dos et les hanches. Ceci dit, on s’habitue.
Je ne dors jamais dans les lieux fréquentés. En arrivant dans une ville, je vais un peu à l’extérieur, dans un bois, au départ d’un sentier de randonnée, dans un verger, etc… J’y cache mon sac correctement, en ne prenant que papiers, argent, instrument, et à moi la ville! Le soir je rentre au calme dans mon nid de verdure.
Petite astuce pour gagner quelques degrés : ne jamais se mettre à l’endroit le plus bas sur un lieu. En se mettant juste un peu plus haut, on évite les courants d’air froid. Les pinèdes sont des endroits où il fait un peu plus sec et chaud.
Bonjour Nastia et merci pour ton retour d’expérience très détaillé, c’est sympa d’avoir partagé ces deux astuces avec nous ! C’est vrai que le hamac c’est top comme compromis (j’ai passé 3 mois dans mon hamac en Asie), à condition qu’il ne pleuve pas trop et qu’il y ait des arbres. Il faut aussi penser à la moustiquaire dans beaucoup de pays, au risque de ne pas trouver le sommeil ! Pour la tarp, je n’ai jamais testé mais ça a l’air d’être une bonne option également, donc merci pour l’info, et bon vent à toi 🙂
Je rebondis sur « voyager leger ne veut pas forcement dire bon marche » : je suis pas forcement d’accord. Acheter d’occasion ça fait du bien au porte monnaie et à la planete ET vu que c’est parfois un peu usé on est moins la cible de potentiels criminels – le petit bonus pour les peureux ^^
C’est vrai ce que tu dis, mais malheureusement bien souvent, si l’on veut vraiment du matériel vraiment spécifique, on ne trouve pas toujours d’occasion surtout si on habite dans une petite ville. Après, nous sommes bien d’accord, c’est toujours mieux de faire de la récup’ et pour ma part c’est toujours ce que j’essaie de faire en premier lieu. Bonne continuation à toi et merci pour ton commentaire 🙂
Salut les gens,
Pour les artistes,
Tiennent dans la poche:
Dessin:
Stylo Bic 4 couleurs pour croquer des paysages urbains sur quart de feuille A4, à numériser qui restitueront votre émerveillement une fois sur écran ou imprimés en carte postale. Conseil: pas de jaune, juxtaposer vert et rouge à la place, ça équilibrées.
Musique :
Harmonica mais aussi,
Penny whistle, fin whistle, flûte irlandaise, quelque soit son nom…
Tient dans la poche, instrument diatonique très facile à jouer aux possibilité infinis
Tonalité standard : Ré (D)
Pour jouer plus fort: modèle soprano en D marque Susato, utile dans les endroits bruyant notamment si vous jouez « au chameau »
Avec monde bon marché :
https://plus.google.com/107358427756366585373/posts/Pg8HEbPRhbW
Pour les photos, videos, enregistrements sonores, accordeur de guitare… Votre smartphone qui sert à tout comme vous le savez. La vidéo du lien ci-dessus, je l’ai tournée avec mon smartphone premier prix.
Etc.,
Petit mot pour Astrid:
Ton humour permet de poser la lourdeur des soucis et enfin de se sentir à nouveau plus léger !
Bise et sourires font de même et ne pèsent rien!
*si vous jouez « au chapeau » et pas « au chameau » 😀
Super ton article qui résume à merveille le voyage ultraléger
Tous tes conseils ,je les applique depuis quelques années
C’est aussi un travail psychologique qui prend du temps
J’ai travaillé mon sac avec l’aide de randonneur ultra-léger
Résultat :1 mois en Inde du Sud avec un sac De 1Kg400(moins d’un Kilo et demi!!!)
et Madère avec 3kg200 en autonomie totale (tente,matelas,sac de couchage,cuisine,…)
Le tout hors poids de l’eau et de la nourriture
Super ton article pour ceux qui veulent s’y mettre mais faut l’avoir mis en pratique pour comprendre
Salut Eddie! Merci pour ton message, sympa tes expériences 😉 Au plaisir!
Je découvre ton blog avec cet article, que je trouve très sympa et plein de bonnes idées ! Nous sommes rentrés d’un an de TDM en 2012, et certaines de tes astuces ont été testées et approuvées ici également (comme le fond de la bouteille plastique qui se transforme en super bol…), et sur d’autres points tu me donnes des idées. après, je trouve ça tellement pénible de faire ma lessive tous les soirs que je crois que je partirai avec un peu plus de change tout de même 😉
En tout cas c’est certain que pour notre 2è grand départ (2016) je prendrai un sac plus petit… comme tu dis, plus le sac est grand et plus on le remplit !
Coucou! Merci pour ton commentaire! Je découvre donc ton blog par la même occasion : cool! Super projet que de prendre un nouveau (grand) départ, je vous souhaite plein de bonheur et de belles aventures! Bon vent 😉